"Seul le trajet de ton âme vers la Source est ce qu’il faut faire ".

Vendredi 30 octobre 2015

S. Mon cher guide, bonjour mon ami.

G. Bonjour ma chère Petite « S ».

S. Hier, je fus étonnée, vraiment, lorsque je suis allée à l’église avec l’intention de prier Sainte Thérèse en offrant un cierge, c’était la première que je faisais cela.
J’ai voulu intercéder pour F. afin qu’il soit aidé dans la période de perturbation émotionnelle qu’il vit actuellement, et j’ai entendu : « Mais F. est déjà aidé, accompagné, tu viens prier pour tes propres peurs. Seul le trajet de ton âme vers la Source est ce qu’il faut faire ».
J’ai alors vu une immense lumière blanche, pur où tout est simple. (Difficile pour moi de traduire cette simplicité qui contient tout).
J’ai reçu une belle leçon !
Alors j’ai une question, est-ce une bonne chose de prier pour les autres ?

G. Tu as déjà la réponse en toi.

S. Oui.

G. La prière pour quelqu’un d’autre doit être pure, c'est-à-dire non entachée de désirs pour l’autre. C’est l’amour pur que tu éprouves à ce moment-là pour l’autre qui agit.
Toutes les marques d’amour adressées aux êtres spirituels agissent et cet amour doit être dégagé d’intentions pour l’autre.

S. Ainsi, cela me fait reconsidérer ma prière. Pourtant alors, où se situe la demande ?

G. Il est dit « frappez et l’on vous ouvrira ». Ta demande concerne l’amour le plus pur à éprouver, à ressentir, à émaner.
Observe-toi à chaque instant, encore une fois, où se loge le non-amour.
Maintenant fais ta prière…

Je rentre donc en prière et il se passe ceci.

S. Je viens de découvrir quelque chose ! Merci.

Ma demande pour l’autre s’est transformée en un commandement intérieur.

« Sabine, je te demande de t’ouvrir à l’amour inconditionnel (vision de plein de petites étincelles), je te demande de lâcher tes peurs inutiles et de te focaliser sur la joie ». 

J’observe alors que j’alimente ainsi dans cette prière, mon cœur, mon centre et que la lumière se répand  

« C’est tout, laisse faire sans jugement, sans attente, sans projection ».

Merci Gannesh’, de m’accompagner dans ces moments de grande subtilité avec moi.

G. Tu as conversé avec ton « commandement » intérieur supérieur. 

Il est mu par l’énergie de la volonté de s’ouvrir à lui avec tendresse, respect et humilité.
Le commandement qui parle directement à ton cœur est juste, celui qui parle à ton mental t’amène dans les tournis des émotions, créant l’opacité, réduisant la clarté de la lumière.

Tu vas t’habituer à discerner entre les deux.

S. Merci Gannesh’. Merci pour ce bel enseignement expérimenté.